La flûtiste et compositrice Naïssam Jalal dévoile un univers musical personnel et vibrant qui, tant sur le fond que sur la forme, redonne tout son sens au mot liberté. Née à Paris, de parents syriens, la musicienne s’est construite, dès l’âge de 6 ans, sur le plan artistique dans la multitude des rencontres humaines et artistiques. À 17 ans, elle découvre l’improvisation et quitte le conservatoire après obtention du CFEM. Elle intègre différentes fanfares comme Tarace Boulba avec laquelle elle sillone la France et le Mali en tournée. A 19 ans, Naïssam part poursuivre son apprentissage au Grand Institut de Musique Arabe de Damas où elle étudie le nay. Plus tard, elle s’installe au Caire pour quelques années et y enrichit son jeu auprès des plus grands maîtres de la musique arabe Classique.
Naïssam Jalal propose une œuvre d’arpentage dans la région du songe inspirée par la tradition mystique et les laudes d’Alice et John Coltrane. Huit pièces canalisées par le souffle pur de la flute et du nay, enveloppées de chants célestes, parcourues de rythmes hypnotiques, avec la complicité quasi surnaturelle de Leonardo Montana, Claude Tchamitchian et Hamid Drake. Ce cinquième album est son « Love Supreme ».
Guy Darol – Jazz Magazine.
Une quête qui oscille entre ombre et lumière, contemplation et transe, silence et musique. Naïssam Jalal aborde les rivages de la spiritualité avec une groupe totalement investi.
Alex Dutilh, Open Jazz – France Musique
Naissam Jalal, Claude Tchamitchian, et Leonardo Montana, ont fait entendre au café de la Danse une musique incroyablement habitée et envoûtante.
Jean-Francois Mondo - Jazz Magazine
La flûtiste et compositrice Naïssam Jalal signe avec Quest of The Invisible une œuvre majeure, intime et transcendantale : une invitation à la méditation dont l’amplitude et la puissance narrative puisent aux sources d’une spiritualité libre, enfin assumée.
Jeanne Lacaille – Quest TV
L'invisible prend forme alors dans les notes minimalistes du piano de Leonardo Montana, le lyrisme évanescent de la contrebasse de Claude Tchamitchian (quel son !) et les réminiscences orientales des flûtes (ney, traversière). La transe est dépouillée, tissée de motifs doucement répétitifs, qui invitent à la contemplation.
Anne Berthod – Télérama